Un fermier bien portant emmène sa bedaine,
Ses poulets ses dindons au marché de Varaigne.
Un passant en prend deux, bien pesants, forts charnus,
Donne toute sa monnaie et se retrouve à nu.
A la poêle le dindon perdit toute sa graisse,
Et ce fut petite caille qu’il croqua sans finesse.
Même au four le poulet ne donna aucun goût,
Et seul le pain d’ail fut mangé sans dégoût.
Mécontant il le fut et pensa comme un con
Que cette ville de Varaigne mérite son surnom !
Je vous en fait (...)
Je nous souhaite des petits plaisirs
et de grandes passions
de longs et tendres câlins
des rires écarlates à foison
de raviver les bons souvenirs
de flâner ça et là sans raison
d’être guillerets dès le matin
en profitant de chaque saison
Je nous souhaite une force démesurée
pour (...)